PoHaine #1

Nom de la peinture : Rat Bionique niqué ensanglanté

Le long riff du kiffeur obscure

Entres quatres murs

L’envie de tuer devient mûre

Tout bousiller

Mais que faire après..

Être déchu , avoir cette fourche dans le pied

En essayant d’oublier le visage de toutes ces dames

J’en ai plein l’esprit , des tâches de souvenirs

Des piqures pour couper court

A la télé des gamins qui court se faisant canarder

Par d’autres gosses drogué aux amphets

A oui et au fait..

Tous ce que vous voyez n’est peut être qu’une illusion

Peut être que ça les fait marrer tous ces tueurs organisés

L’armée , la république

Ca fait longtemps que le monde fait un bad trip

Et que les autres sans visages s’enricissent

J’ai chialé ces paroles a une fille que j’aimait

Apparement c’est pas si beau

Puisque qu’elle m’a dit qu’elle repartirait sur son bateau fantôme

Pirater la mer , découvrir les cités atlantes

Il me faut une cliente pour mon amour

Je ne pourrais faire pour

Chère solitude il est temps que je te quitte

Pendant des années tu ne m’a mêmes pas préserver

Maintenant ont peu être quitte nan ?

Nan ? Ok …alors je reprends mes habitudes

Je me tue a petit feu pour que quelqu’un déclare un incendie

A partir de mon cœur , des trous , des tubes

Je m’endors sur des sons de dépression et des derniers cris de suicide

J’enterre des corps décompsés a l’acide

Découpés a la hache

J’utiliserais bien le mot « morbide »

Enfin bon… là j’ai fini

Revenons aux rêves de pégase

Qui viennent me protéger

Extase , bof c’est un mot que j’ai trop utilisé

Mais une sensations que je n’est jamais gouté

Goutte de pluie sur mon visage

Perdue dans l’océans

Stone , stone , encore stone

Le druide mélange les potions

Pour que les ptit arracheurs partent en mission

Pour du fric

Fric , fric , encore du fric

Flique sbire de l’anti-liberté

Flingue ce qui est mal

Mais ce qui est mal est décidé par les hauteurs et les fausses divinités

Un bout de bois surfant sur la rivière en pleine pluie a la lumière de la lune

Quand un pervers me dit comment il aime les femmes sa me fait frémir

Que dois-je faire ?

Être excité , le tuer ?

En tous cas c’est sûr j’ai vu pire je ne suis pas entrain d’être apeurer

Ni paniquer

J’viens de commander trois nouveaux couteaux

Pour que le sang frais se mélange a l’encens

La drogue me donne 10 sens de plus

Et en plus voilà qu’elle offre un sens a ma vie

Donc c’est décidé je serais défoncé j’usqu’a en crever

D’une crise de délire sous PCP je me jetterais

D’un des deux donjons royales

Cette chaine autour du cou vaut le coup

Elle n’est ni en or ou en diamant

Juste un aimant pour bizarrerrie

C’est comme ça qu’ils appellent mes poèmes et mes pratiques

Mes talisments brillent

Alors j’invoque démon sans aucune protection

Pour être sûr de recevoir leur respect, je crois que sa marche

Une ombre marche derrière moi

J’arrive avec une lame , des flingues et des grenades

Pour ces gens ou tout se juge sur la money et les fringues

Cliniquement malade

C’est en ce moment que je parle au fantôme

il m’ordonnent de l’avaler et de tuer

Il dira que c’est pour mon bien être

Ce psy fantômatiuqe

Crois toi un foutu dieu ?

Egorge tu des animaux en direction de la mecque , la mer ou Lucifer ?

Caïn se repait du sang d’Abel

La plus grande famille royal

Eve et Adam

Le jour

Et Lililth , reine de la nuit insoumise

Des nuits ou les tourbillons maléfiques emportent ta grand mère qui se pisse dessus

Des fausses couches , ou Lilith rigole

Tandis qu’elle , elle baise tranquille avec Samaël

Les rêves les plus fou

Sont souvent les plus floue

Les larmes coulent sous l’odeur fruitée de ton parfum

je l’inspire , me voilà envolé

Comme sous un acide de Lsd

Pourquoi n’as tu pas écouté ?

Pourquoi n’as tu pas réfléchie , examiner ?

Pour découvrir le décor que j’avais fait pour toi

Certes je meurt peut être

Mais avec passion

Nan , c’est pas pour ressembler a ce shlag de Cobain

Ouais , j’veux la gloire et les drogues de Kurt

Ta tête explose au neuf milimètre

Y’a du sang partout

Mais la femme de ménage est tellement sous xanax

Qu’elle le prendra pour du coca reversé

Dans mon coca-cola des bulles psychotropiques

Dans mon nez , j’ai les synsus ambimé

Comment aurais je fait pour écrire toute cette peinture

Qui n’est j’amais fini..

Nan , je ne veux pas la finir

Comme un romain

Je suis foudroyé par un éclair !

C’est qu’il est bénit des Dieux

Si tu sors ce soir je te conseille de courir

Ou c’est leur courroux que je tient dans mes mains qui va te faire mourir

Comme Kali sa décapite

Et sa viole sans capote

Sa ne vie plus , juste après les montagnes

Sa essaye de survivre derrière les murs

Allo ?

A c’est encore toi

T’as recapturé mon numéro

Celui de la bête

Donc tu t’entête a m’appeler

Quand tu veux te péter la tête

J’suis ni dans vos fêtes ni dans vos gangs

J’infecte votre êtrre de poison spirirtuelle

Je glisse sur la neige blanche

Et je tombe , nez pissant le sang

Je ne trahie pas ma promesse

Je boufferais le visage des méchants

Et ont chantera ma victoire

La folie vive de la jeunesse

Devient maudit a la vieillesse

Si on interdit le bruit

Ont interdit la vie

Ce genre d’ambiance déprime

Suboxone and valium please, don’t take my life

Tu verras des bouts de souvenirs

Quand tu mourras

Sa ressuscitera tes souvenirs d’innocence

, de petite fille joyeuse, ta jolie enfance

Avant que tu descende jusque a la shooteuse

Bébé ne prend pas ce chemin ,

Ne prend pas le mien , je te l’interdit

Pourtant j’me suis permit de prendre ta main

Suis-je donc fou ou bien le malin ?

Pour cette algorithme qui m’arrache la peau

Mon poto utilise ces cros pour arracher la peau de sa propre main

Il n’est pas propre, il a du sang sur la gencive

Il n’est pas saint , il a un carton sous la langue

Tout noir des yeux a la bouche

Tout violet de la gorge a la vessie

Tout noir du bonnet au chaussures

Noir comme trois Hunna

Le cri des civils horrifié

Les sirènes retentissent

Éveille toi en guerrier

Car aujourd’hui ou demain sa peut saigner

C’est la déclaration de guerre qui est signé

Imagine toi en train de sucer un viking avec un pompe viser ta tempe

Est tu de ma trempe ou vas tu trembler

Avant de pactiser il faut s’aviser

Me demande te conseiller

Regarde la ou j’en suis arrivé

Mort , maux , solitude

Moloch tu m’as dressé un chemin de vie brûlant

des chemisiers en peau de bête et des colliers d’os et de diamants

Je les porterais un jour , ces vêtements

Ma plume sort d’un dessin de manga heintaï

Fille de reine en reine sur cette espace planétaire éclairé par la « lunaire »

 Des étoiles a deux cornes fluorescentes dans la nuit

Qui guide des déchus sous des pluies , ou traverse des ondines

Je les travesties et les fait danser sur de la langoureuse musique

Je lève ma cup a la vie

De l’État , passé d’esclave a illuminati

Quelques putes veulent me voir enfermé , sans mes pouvoirs

J’pourrais plus braquer les chapelles des bonnes intentions

Je flingue , j’brûle la poudre d’ange

Je souris a la vue du sang

Vivant parmis les morts

Rien n’est plus cruel

Que la façon de dont Lilith ce venge

De ceux qui viennent exciser

Ne versons plus de sang pour nos démons

Ils nous ont volé nos dieux

Ils nous ont volé nos codes

Aujourd’hui le sang rituel est celui d’un homme crucifier

Comme ça que finisse les héros

Si c’est pas d’une overdose d’héroïne

Quand il gratte sa guitare

Il s’habitue , pas serein a se gratter

A cause des seringues de sang de porc

Heil Capital !

Regarde leurs photos comme ils sourient

Ces pauvres types , pauvres filles

tous dans le même porno hardcore

Ce sont les ordres du la fureur

Par ce qu’il faut rire

Publié par florianvasss/oborder

Jeune artiste de 21 ans , j'ai écrits quelques recueils de poèmes qui ont été publiés , je peint , je suis un mélange de conscience psychédélique et d'anomiste , fasciné par la philosophie , l'occultisme , la littérature et le cinéma et les musiques extrêmes je publierais tout ce qui sortira de ma tête de dingue , en effet j'ai beaucoup fréquenté les hôpitaux psy et j'ai toujours eu de la haine envers ce monde , mais tout cela , vous le découvrirez dans mes oeuvres

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